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Théâtre de Liège

Le théâtre de Liège

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Points forts

Passer une soirée saisissante d’un point de vue artistique au Théâtre de Liège.

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À propos de ce deal

Détail de l’offre :

Les passionnés de spectacle sont invités au Théâtre de Liège afin d’assister à l’un des 8 spectacles proposés, pour briser la routine quotidien et apprécier une représentation théâtrale jouée par des comédiens passionnés.

  • Une place pour le spectacle “Darius, Stan et Gabriel contre le Monde Méchant” à 14,90 € pour un prix pouvant aller jusqu’à 22 €*
  • Une place pour le spectacle “La Maladie de la mort” à 14,90 € pour un prix pouvant aller jusqu’à 30 €*
  • Une place pour le spectacle “Mémoire(s)” à 14,90 € pour un prix pouvant aller jusqu’à 22 €*
  • Une place pour le spectacle “Cocon !” à 14,90 € pour un prix pouvant aller jusqu’à 22 €*
  • Une place pour le spectacle “Études/The elephant in the room” à 14,90 € pour un prix pouvant aller jusqu’à 22 €*
  • Une place pour le spectacle “Birdie/Forum Impact” à 16h à 14,90 € pour un prix pouvant aller jusqu’à 22 €*
  • Une place pour le spectacle “Autoctonos II” à 14,90 € pour un prix pouvant aller jusqu’à 22 €*
  • Une place pour le spectacle “Scapin 68” à 14,90 € pour un prix pouvant aller jusqu’à 22 €*

Dates et heures des représentations :

Darius, Stan et Gabriel contre le Monde Méchant
-Le 5 octobre 2018 à 20h
-Le 6 octobre 2018 à 19h
-Le 7 octobre 2018 à 16h

La Maladie de la mort
-Le 10 octobre 2018 à 19h
-Le 11 octobre 2018 à 20h
-Le 12 octobre 2018 à 20h
-Le 13 octobre 2018 à 19h

Mémoire(s)
-Le 16 octobre 2018 à 20h

Cocon !
-Le 23 octobre 2018 à 20h
-Le 24 octobre 2018 à 19h
-Le 25 octobre 2018 à 20h
-Le 26 octobre 2018 à 20h
-Le 27 octobre 2018 à 19h

Études/The elephant in the room
-Le 26 octobre 2018 à 20h
-Le 27 octobre 2018 à 19h

Birdie/Forum Iimpact
le 18 novembre 2018 à 16h

Autoctonos II
-Le 21 novembre 2018 à 19h
-Le 22 novembre 2018 à 20h
-Le 23 novembre 2018 à 20h

Scapin 68
-Le 5 décembre 2018 à 19h
-Le 6 décembre 2018 à 20h

Lieu des représentations :
Le Théâtre de Liège
Place du Vingt Août 16
4000 - Liège

Les spectacles :

Darius, Stan et Gabriel contre le Monde Méchant
‘‘Sous forme de fable satirico-politique, ce spectacle nous narre les aventures de trois personnages sur le fil de la marginalité. Échoués dans une caverne aux tréfonds de la terre, ils revisitent, de délires en hallucinations, l’odyssée burlesque et régressive qui les a conduits dans cette bien mauvaise posture, alors même qu’ils tentaient de fuir l’Europe en crise. Fantasmagories, réalités sociales et perversion se confondent dans ce rêve éveillé, dont chaque fragment constitue à la fois la métaphore et la critique de ce que nos égarés contemporains dénoncent comme étant «le Monde Méchant». C’est sans compter sur la scénographie de Boris Dambly qui constitue un des chaînons de ce voyage initiatique en terrain hostile. Le metteur en scène et cinéaste Claude Schmitz réunit des interprètes, acteurs ou non, provenant d’horizons hétéroclites, mêle cruauté et drôlerie, combine le mode narratif de la scène à celui du cinéma (un moyen métrage intitulé Le Mali (en Afrique) constitue un pan de la pièce) et affirme avec pertinence la singularité de son travail artistique. L’heure est à l’authenticité remarquable !”.

La Maladie de la mort
‘‘Dans ce roman énigmatique, implacable et dérangeant, Marguerite Duras sonde sa conviction qu’aucune intimité émotionnelle ou sexuelle n’est possible entre les hommes et les femmes. C’est cela qu’elle nomme La Maladie de la mort. Dans une chambre d’hôtel en bord de mer, un homme attend. Elle vient seulement la nuit. Elle ne doit pas parler. Elle ne doit pas résister. Tout ce qu’il veut, elle doit le faire. Peu importe le prix – il veut apprendre à aimer, à ressentir à nouveau. La densité du texte, le trouble de la situation, les questions sans réponse ne pouvaient que séduire l’Anglaise Katie Mitchell, figure majeure de la mise en scène actuelle. Le cinéma occupe une place importante dans son processus de création et trois caméras filment simultanément le couple d’acteurs sur le plateau. Les images, montées en direct, sont projetées sur un écran et accentuent le vertige entre la réalité et la fiction. Pendant que nous cheminons entre le tournage et sa projection, l’histoire nous est racontée par la voix enveloppante d’une narratrice, Irène Jacob, installée dans une boîte de verre. Deux grandes dames se rencontrent dans l’exploration profonde de l’intimité, du genre et du sexe.”

Mémoire(s)
“Née de l’union de cinq artistes issus du Québec, de France et de Belgique, la Compagnie du Poivre Rose est cimentée par la complicité humaine et des objectifs créatifs communs.  Leur but est de concevoir un espace, une structure où leurs idées, bonnes ou mauvaises, simples ou héroïques auraient un droit à l’essai. Après le succès de leur première création, les cinq circassiens s’attaquent aux méandres de la mémoire. Avec finesse, humour et décalage, ils évoluent dans un huis clos encombré de leurs souvenirs. Faisant appel à des références populaires et à leurs histoires personnelles, ils enchaînent mât, trapèze, corde lisse, cadre coréen, hula hoop et patins à roulettes, fidèles au langage qui leur est propre. Nous disparaîtrons tous un jour, emportant nos traces avec nous. La mémoire collective, elle, survivra. C’est le chemin entre l’être et l’oubli, c’est le chemin de ce spectacle et de ces personnages. Inspirée par le travail plastique de Christian Boltanski, la pièce présente une succession de variations, d’instants choisis, une accumulation de photographies formant petit à petit, le puzzle de l’histoire, d’une mémoire. Du cirque contemporain magnifique !”

Cocon !
‘‘Nous avons tous un jumeau, mais la plupart d’entre nous l’avons mangé. Nous l’aurions fait disparaître pour pouvoir exister. Nous ne vivrions que parce que nous avons réussi à tuer l’autre. L’histoire vraie de Judith Scott, trisomique et sourde, et de Joyce, sa sœur jumelle, est le fil rouge du spectacle. Enfants, elles furent séparées pour permettre à Joyce, la sœur « normale », de bien se développer. Trente-cinq ans plus tard, Joyce se relie à elle, permettant ainsi à Judith de devenir une grande figure de l’art brut et ce, en tissant des sortes de cocons multicolores. Cocon — dans l’usage courant appliqué à l’humain — désigne un lieu de repli, de confort. Il est aussi l’enveloppe nécessaire à la métamorphose. Comédienne et metteure en scène, Dominique Roodthooft s’entoure d’une subtile association d’artistes polyvalents et cultive, pour notre plus grand plaisir, la fertilité des approches multiples. Cocon, c’est l’abri d’une promesse, l’expérience du devenir autre, le lieu d’incubation de tous les possibles, tant merveilleux que monstrueux. Une célébration de la transformation et du lien. Avec aussi de la musique, de la danse et des chansons…”

Études/The elephant in the room
‘‘Lors d’une séance de travail décomplexée, ressemblant à s’y méprendre au making of d’un spectacle, trois acteurs jouent leur propre rôle de chercheur amateur et exposent, dans une suite de conférences décalées, les résultats de leurs investigations sur les liens encombrants entre le secteur financier et la sphère politique. Être amateur ne doit pas empêcher d’agir, la metteure en scène Françoise Bloch et son équipe le revendiquent. Leur exposé nourri prend comme point de départ le parcours feuilletonesque d’un projet de loi qui germa suite à la crise financière des subprimes de 2008. Une loi européenne de réforme structurelle du secteur bancaire qui devait améliorer la stabilité d’un système qui venait de démontrer sa fragilité et réduire le pouvoir des grandes banques. Ce spectacle politique ultra documenté, joyeux malgré les découvertes ahurissantes qu’il suscite, nous libère avec l’impression d’être parvenu à détricoter l’opacité du langage des lobbyistes, et repris main-forte sur des terrains financiers et européens dont on se sentait exclus. Ici, le pouvoir d’action s’émancipe de la complexité!”

Birdie/Forum Impact
“Après avoir reçu le Lion d’Argent de la Biennale de Venise en 2015, la compagnie catalane Agrupación Señor Serrano présente une performance multimédia avec des maquettes, de la vidéo en direct, 2000 miniatures d’animaux, Les Oiseaux d’Hitchcock revisités, des guerres, des contrebandiers et une migration massive. Sur la scène imaginée comme un green de golf, tout ce microcosme – reflet poétique des mouvements de population actuels – est manipulé par trois interprètes pétris d’humour et d’engagement.”

Autoctonos II
“La danseuse et chorégraphe Ayelen Parolin décrit sa nouvelle création comme un quintet réunissant quatre danseurs et une musicienne. Autóctonos II est, en effet, indissociable de la performance musicale produite en live par Lea Petra, qui extrait de son piano un panel de sonorités et de rythmes déconcertants. La pièce interroge la place du groupe dans notre société de l’endurance, de l’indifférence et de la productivité. Le cercle, affirmation de la stabilité, de l’ordre et de l’uniformisation, constitue le point de départ de l’écriture chorégraphique qui, de prime abord, semble abstraite et « mathématique ». Mais c’est pour mieux éprouver, par la suite, la force guerrière du groupe et faire exsuder les fêlures du système et les fragilités humaines de chacun. L’accélération paroxystique de l’œuvre, tant de la musique que des mouvements singuliers et frontaux, entraîne le spectateur dans la transe libératrice et jouissive, où l’engagement et la ténacité physique des interprètes se montrent étourdissants. La puissance à fleur de peau vient se nicher dans la rare expérience de la contraction du temps.”

Scapin 68
“La révolte des jouvenceaux, Léandre et Octave, envers leurs pères despotiques et grincheux, leur recherche d’une indépendance financière, leur désir de choisir leur destin et leur partenaire de vie librement, fait pertinemment écho aux bouleversements de Mai 68. Pour en commémorer le cinquantenaire, les mots de Molière, qui, piquant l’ordre établi et le système de justice au profit d’un amour libre et sans contraintes, concorderont comme par enchantement à cette période mouvementée qui vit s’affronter deux générations. Scapin, valet aussi ingénieux que beau parleur met ses talents au service des fils et retourne la situation à leur avantage. Avec une fabuleuse équipe d’acteurs, le metteur en scène et directeur du Théâtre Royal du Parc, Thierry Debroux, monte, tambours battants, cette œuvre classique où tout finit bien pour tous, incitant les jeunes gens à rentrer dans le rang. Trois siècles après sa création, cette comédie savoureuse réussit toujours à sacrément divertir. Et puis nous savons que nos immatures rebelles deviendront à leur tour, le temps opérant son usure, les « vieux cons » de leur progéniture… Sous les pavés, la farce !”

*Prix généralement constaté

Billet non échangeable, non remboursable

Conditions

Valable pour une représentation uniquement à la date mentionnée sur votre coupon. Non échangeable, non remboursable sauf en cas d'annulation des représentations. 5 coupons max par pers., possibilité d'en acheter 5 supplémentaires pour offrir. Présentez votre coupon imprimé ou sur mobile à l'arrivée. Réservation obligatoire par mail à billetterie@theatredeliege.be. Pas d'annulation possible.
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